À mi-chemin entre deux mondes: parcours féminins chez Ying Chen
DOI :
https://doi.org/10.18352/relief.690Mots-clés :
Déplacement, transmutations, genre, archeologie personnelleRésumé
Ancrée dans un itinéraire singulier, à l’intersection de mondes différents, l’oeuvre romanesque de Ying Chen met en scène migration et mobilité comme représentations pertinentes de cheminements identitaires féminins et universels. L’auteure s’attache à explorer un entre-deux métaphorisé où les protagonistes sont en situation provisoire, depuis la narratrice en transit de La mémoire de l’eau (1992), jusqu’à celle, en pleine métamorphose, d’Espèces (2010). Ambiguïté que Chen a faite sienne, comme elle l’explique dans Quatre mille marches (2004): « je suis partie mais je ne suis pas arrivée. […] Je me trouve à mi-chemin entre mon point de départ et mon ailleurs » (40).
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(c) Copyright Gabrielle Parker 2011

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