André Schwarz-Bart au Moulin d’Andé : de quelques rencontres déterminantes

Auteurs

  • Kathleen Gyssels Université d'Anvers

DOI :

https://doi.org/10.51777/relief11463

Mots-clés :

André Schwarz-Bart, Moulin d’Andé, intertextualité, Georges Perec, Arnoldo Palacios, Richard Wright

Résumé

Dans la seconde moitié du XXe siècle, le Moulin d’Andé, dans l’Eure, fut un lieu emblématique où se rencontrèrent écrivains, cinéastes, artistes et intellectuels de tous bords et de tous pays. Lieu de création et caisse de résonance artistique et idéologique, le Moulin fut aussi un réseau culturel hors du commun. André Schwarz-Bart y trouva un lieu d’inspiration et de création. Les nombreuses rencontres qu’il y fit furent déterminantes pour son œuvre. Le présent essai explore avec liberté le réseau d’« intertextualités spéculatives » qui se tissa autour de son œuvre, en esquissant trois de ces rencontres littéraires : celles avec Georges Perec, Arnoldo Palacios et Richard Wright.  

Biographie de l'auteur

Kathleen Gyssels, Université d'Anvers

Kathleen Gyssels est professeur de littérature et de culture postcoloniales francophones à l'université d'Anvers, où elle donne des cours sur les auteurs des diasporas africaine et juive. Ses publications portent principalement sur les auteurs et les sujets afro-américains, caribéens et francophones dans une perspective large et comparative. Ses recherches actuelles ont étendu son champ d'action à des questions conflictuelles, telles que les lois mémorielles et les guerres de la mémoire dans la République française et les pays postcoloniaux. Elle est coordinatrice du groupe de recherche sur la littérature postcoloniale à l'Université d'Anvers et membre associé de l'Institut d'études juives.

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Publiée

31-12-2021

Comment citer

Gyssels, K. (2021) « André Schwarz-Bart au Moulin d’Andé : de quelques rencontres déterminantes  », RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 15(2), p. 142–153. doi: 10.51777/relief11463.