Olivia Rosenthal, la dernière des Égyptiennes. Un fétichisme entre agentivité des objets et transitionnalité du langage
DOI :
https://doi.org/10.51777/relief13498Mots-clés :
Olivia Rosenthal, littérature contemporaine, littérature documentaire, culture matérielle, agentivité des objets, fétiche, études animales, transitionnalitéRésumé
L’œuvre d’Olivia Rosenthal cultive la sauvagerie et fait des animaux des ressources tout ensemble éthiques et esthétiques. Cet article souhaiterait à partir d’un bref texte intitulé Jouer à chat (2017), publié en collaboration avec le Musée des Confluences, interroger un autre rapport aux animaux, fait de passages et de transitionnalité. Par ce biais, l’écrivaine opère un retour dans le temps, pour se réapproprier les pensées animistes et requalifier le langage comme source de consolation et exorcisme des traumas.
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(c) Copyright Laurent Demanze 2022
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