LA NAUFRAGÉE, UNE ÉCRITURE DE LA DÉRIVE, FORTUNE ET INFORTUNES DU CHANT
DOI :
https://doi.org/10.18352/relief.463Mots-clés :
Marie Ndiaye, sirène, fantastiqueRésumé
La Naufragée de Marie NDiaye propose une transposition du mythe de la sirène. Ce travail de déplacement opéré à partir du mythe originel se caractérise par une écriture de la désacralisation et du ravissement, une écriture de la dérive s’abandonnant au flux de motifs instables issus du préconscient. Procédant par condensation, ce conte fantastique questionne les modalités d’une inspiration produite par le fantasme, tout en renouvelant l’horizon des interprétations d’une double problématique chère à la psychanalyse : quel est le destin du féminin confronté à la castration ? Le désir de voir serait-il mortifère ?Téléchargements
Les données de téléchargement ne sont pas encore disponible.
Téléchargements
Publiée
21-05-2010
Numéro
Rubrique
Articles – dossier thématique
Licence
Tous les articles dans RELIEF sont publiés en libre accès sous la licence Creative Commons Attribution 4.0 International License (CC-BY 4.0). Sous ce régime les auteurs conservent les droits d'auteur mais ils consentent à toute sorte d'utilisation de leur texte pourvu qu'il soit correctement cité.
Comment citer
Inglin-Routisseau, M.-H. (2010) « LA NAUFRAGÉE, UNE ÉCRITURE DE LA DÉRIVE, FORTUNE ET INFORTUNES DU CHANT », RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 4(1), p. 58–71. doi:10.18352/relief.463.