L'art d'illustrer l'impossible : À la recherche du temps perdu de Marcel Proust vu par Kees van Dongen

Auteurs

  • Charlotte Vrielink Université Radboud

DOI :

https://doi.org/10.18352/relief.952

Mots-clés :

intermediality, book illustration, iconography, Marcel Proust, Kees van Dongen

Résumé

Depuis la publication de À la recherche du temps perdu (1913-1927) de Marcel Proust, de nombreux artistes ont relevé le défi de visualiser son chef-d'œuvre moderniste. Dans cet article, je vais aborder l'interprétation de l'artiste néerlandais Kees van Dongen, qui a créé 77 illustrations pour une édition de luxe publiée par Gallimard en 1947. En examinant la manière dont Van Dongen a visualisé différentes formes d'art, je soutiendrai que son interprétation est plus intéressante sur le plan artistique qu'on ne l'a affirmé jusqu'à présent, car ses aquarelles regorgent de références et de pratiques intertextuelles, voire intermédiales.

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Biographie de l'auteur

  • Charlotte Vrielink, Université Radboud
    Charlotte Vrielink is a Research Master student in Literary Studies at Radboud University, Nijmegen. Her research interests lie in the material and spatial turn in 19th- and 20th-century French literature, most notably an ecocritical and ecopoetic approach to the works of Marcel Proust.

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Publiée

27-06-2017

Numéro

Rubrique

I. Trésors de la Collection Koopman

Comment citer

Vrielink, C. (2017) « L’art d’illustrer l’impossible : À la recherche du temps perdu de Marcel Proust vu par Kees van Dongen », RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 11(1), p. 66–81. doi:10.18352/relief.952.