A L’ENVERS, À L’ENDROIT : Freud et le littéraire, à la source

Author(s)

  • Sjef Houppermans

DOI:

https://doi.org/10.18352/relief.491

Keywords:

Freud, Conrad Meyer, familieroman, unheimlich

Abstract

Dans une lettre à Wilhelm Fliess datant de 1898 Freud donne pour la toute première fois le commentaire d’un texte littéraire. Il souligne l’analogie entre la nouvelle de Conrad Ferdinand Meyer, Die Richterin, et le roman familial de ses patients. On peut suggérer que la lecture de Meyer par Freud aura aussi ses répercussions sur l’évolution ultérieure de la théorie psychanalytique.

Downloads

Download data is not yet available.

Downloads

Published

2010-07-13

Issue

Vol. 4 No. 1 (2010): Literature and psychoanalysis

Section

Articles - thematic dossier

License

All articles published in RELIEF appear in Open Access under the Creative Commons Attribution 4.0 International License (CC-BY 4.0). Under this licence, authors retain ownership of the copyright of their article, but they allow its unrestricted use, provided it is properly cited.

How to Cite

Houppermans, S. (2010) “A L’ENVERS, À L’ENDROIT : Freud et le littéraire, à la source”, RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 4(1), pp. 145–159. doi:10.18352/relief.491.