THE READING BODY : Psychopathology, Magical Thinking & Literature
DOI:
https://doi.org/10.18352/relief.489Keywords:
Féminisme, pensée magique, dyslexie, théories erronées, Œdipe, figures de lectrices, Cixous, Sarraute, ProustAbstract
Que nous disent les enfants incapables d’apprendre à lire sur l’effet même de la lettre ? Quels rapports peuvent être établis entre la psychopathologie et la démarche même de l’écrivain ? La figure iconique de la Lectrice lovée autour d’un roman nous permettra de penser le lien entre la pensée magique à l’œuvre chez l’enfant qui « préfère » ne pas sa-voir et l’écrivain qui voudrait dé-lire, défaire les implications psychiques de l’advenue au symbolique alphabétique et à ses lois, une initiation humanisante parce que critique de la jouissance incestueuse.![](https://revue-relief.org/public/journals/5/submission_8979_8979_coverImage_fr_CA.png)
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2010-07-13
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Articles - thematic dossier
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How to Cite
“THE READING BODY : Psychopathology, Magical Thinking & Literature” (2010) RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 4(1), pp. 102–122. doi:10.18352/relief.489.