Géopoétique de l’enfance : l’écriture « autobiogéographique » comme récit de soi
DOI :
https://doi.org/10.51777/relief24977Mots-clés :
identité narrative, pensée paysage, géographie de l'enfance, autobiogéographie, littérature jeunesseRésumé
Notre recherche s’attache à identifier les spécificités de quelques œuvres autobiographiques de littérature de jeunesse : l’album d’Azouz Begag, Un train pour chez nous (2001), le court récit de Jo Hoestlandt, Si je résume… (2017) et la bande dessinée Couleur de peau : miel de Jung (2007), de niveau cycle trois (CM1 – 6e) et quatre (5e – 3e) qui s’énoncent dans une géographie singulière. Les paysages de l’enfance sont en effet des points d’ancrage du souvenir et permettent au sujet de mesurer le chemin parcouru. L’identité se construit dans ce rapport aux lieux fixes de l’enfance. Ces ouvrages constituent autant d’autobiogéographies.
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(c) Copyright Stéphanie Lemarchand, Anne Schneider 2025

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