Sartre, en l’année de son centenaire : mauvais maître ou boussole éthique ?
DOI :
https://doi.org/10.18352/relief.33Mots-clés :
Sartre, Kean, Les Mots, La Nausée, Carnets de la drôle de guerre, Le Mur, L'Enfance d'un Chef, La Chambre, L'Etre et le Néant, existentialisme, D.J. van LennepRésumé
En France, peu de centenaires ont fait l’objet, comme celui de Sartre en 2005, d’une aussi négative unanimité. Hormis Les Temps Modernes et Libération (dont il fut le fondateur), pratiquement toute la presse colporta les mêmes clichés, en le stigmatisant en mauvais maître, en penseur démodé ou encore en imposteur. Le magazine L’Histoire reprit de vieilles insinuations, sans fondement scientifique, sur les occupations du philosophe pendant l’occupation nazie. Le Nouvel Observateur poursuivit la salve, avec le titre accrocheur de « Faut‐il brûler Sartre ? »Téléchargements
Publiée
07-06-2007
Numéro
Rubrique
Articles – dossier thématique
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(c) Copyright Annie Cohen-Solal 2007
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Comment citer
Cohen-Solal, A. (2007) « Sartre, en l’année de son centenaire : mauvais maître ou boussole éthique ? », RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 1(1), p. 1–12. doi:10.18352/relief.33.