Magie de l’image: Alterité, merveilleux et définition générique dans les contes de Perrault

Auteurs

  • Daphne M. Hoogenboezem

DOI :

https://doi.org/10.18352/relief.536

Mots-clés :

Charles Perrault, Illustration, Médium, Edition populaire

Résumé

Dans les premières illustrations des contes de Charles Perrault on ne trouve point de loups habillés, aucune fée au chapeau pointu et pas une seule métamorphose. Ces images n’ont‐elles rien de merveilleux, ou trouve‐t‐on un autre type de magie ? La présente étude offre une analyse des stratégies visuelles de l’illustrateur des Contes de ma Mère l’Oye, ainsi que quelques éléments de réponse à la question pourquoi elles ont été employées.

Biographie de l'auteur

Daphne M. Hoogenboezem

Daphne Hoogenboezem est doctorante au département de Langues et Cultures Romanes de l’Université de Groningue aux Pays-Bas. Elle prépare une thèse sur les rapports en texte et image dans les éditions françaises, néerlandaises et anglaises des contes de fées de Charles Perrault et Marie-Catherine d’Aulnoy (XVIIe et XVIIIe siècles).

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Publiée

08-12-2010

Comment citer

Hoogenboezem, D. M. (2010) « Magie de l’image: Alterité, merveilleux et définition générique dans les contes de Perrault », RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 4(2), p. 1–26. doi: 10.18352/relief.536.