Patrimoine photographique et littérature jeunesse : illustration ou médiation ?
DOI :
https://doi.org/10.51777/relief21156Mots-clés :
édition jeunesse, photolittérature, Robert Doisneau, patrimoine, photographieRésumé
Cet article propose d’abord un tour d’horizon des publications jeunesse consacrées à la connaissance des maîtres du huitième art et analyse la manière dont la photographie patrimoniale y est présentée. Sont ensuite étudiés quatre ouvrages spécifiquement dédiés à Robert Doisneau : Le Prévert de Jacques Prévert, Robert Doisneau et Natali (Mango jeunesse, 2017), Bucéphale de Thomas Fersen et Robert Doisneau (Le Rouergue, 1998), Tic ! Tac ! d’Hélène Kérilis et Laurent Simon (L’Élan vert, 2017) et Robert Doisneau de Clémence Simon et Juliette Boutant (Milan, 2024). Est ainsi montré comment le médium livre, et plus spécifiquement l’espace photolittéraire créée par la double page, peut permettre la transmission du patrimoine photographique.
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(c) Copyright Laurence Le Guen 2024
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