Gnoséologie de la résistance dans le récit du posthumain. Politique et transhumanisation chez Mireille Gagné et Alain Damasio

Auteurs

  • Mohamed Sami Alloun Université Yahia Farès

DOI :

https://doi.org/10.51777/relief17559

Mots-clés :

posthumain, politique, résistance, fonction gnoséologique, Mireille Gagné, Alain Damasio

Résumé

À travers deux romans francophones de l’extrême contemporain, Le Lièvre d’Amérique (2020) de Mireille Gagné et Les Furtifs (2019) d’Alain Damasio, cet article étudie la manière dont le récit du posthumain est susceptible d’apporter un enseignement relatif à la résistance politique via sa fonction gnoséologique. Dans cette perspective, il s’agit d’examiner les différentes représentations de la résistance dans le corpus, d’analyser la dimension politique du personnage posthumain, d’en déterminer les effets littéraires en relevant notamment, sur la base des apports théoriques de Vincent Jouve, les procédés d’intensification émotionnelle auxquels recourent les auteurs et qui renforcent l’expérience immersive et didactique du lecteur.

Biographie de l'auteur

  • Mohamed Sami Alloun, Université Yahia Farès

    Doctorant en littérature francophone à l’Université Yahia Farès de Médéa, Mohamed Sami Alloun prépare actuellement une thèse sur la figuration des transhumanismes dans la littérature francophone de l’extrême contemporain.

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Publiée

15-09-2023

Comment citer

« Gnoséologie de la résistance dans le récit du posthumain. Politique et transhumanisation chez Mireille Gagné et Alain Damasio » (2023) RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 17(1), p. 50–65. doi:10.51777/relief17559.