Les exercices interprétatifs d’Olivia Rosenthal. La réception, entre intime et collectif
DOI :
https://doi.org/10.51777/relief13495Mots-clés :
Olivia Rosenthal, réception, lecture, récit, identification, polyphonie, cinémaRésumé
À partir d’On n’est pas là pour disparaître, Que font les rennes après Noël ?, Toutes les femmes sont des aliens¸ Éloge des bâtards et Futur antérieur, cet article propose d’envisager la réception chez Olivia Rosenthal comme l’une des modalités du récit. Le visionnage de films mais aussi, par extension, le rapport au récit oral font apparaître la manière dont les destinataires se laissent influencer ou, au contraire, résistent aux phénomènes d’identification que suscite la narration. Les textes d’Olivia Rosenthal proposent ainsi une réflexion sur la réception esthétique, à partir d’un répertoire d’exercices interprétatifs, figurés ou racontés, qui mettent en perspective la construction de soi, mais aussi le rapport à l’autre, interrogeant par là les potentialités de mise en commun des expériences que reconfigure le récit.
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(c) Copyright Estelle Mouton-Rovira 2022
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