Traduire Rabelais et Montaigne aux Pays-Bas
DOI :
https://doi.org/10.51777/relief10893Mots-clés :
Rabelais, Montaigne, traductions néerlandaises, réception, traduction, retraductionRésumé
Cet article étudie et contextualise les multiples vicissitudes qu’ont subies les traductions néerlandaises de Rabelais et de Montaigne à travers les siècles. L’article passe en revue les deux traductions partielles et modestes de ces auteurs au XVIe siècle, ainsi que les deux grandes traductions réalisées au XVIIe siècle, celles de Glazemaker (1674) et de Wieringa (1682). Il saute les deux siècles suivants, qui sont sans traductions rabelaisiennes ni montaigniennes, pour passer au xxe siècle, qui connaît une pléthore de traductions. Pour ne mentionner que les traducteurs les plus importants : Rabelais est traduit par Sandfort (1931), Buckinx (1995) et Vermeer-Pardoen (1995-2003), alors que Montaigne est traduit par De Graaff (1993) et Van Pinxteren (1993-2003). L’article analyse les rapports concurrentiels et autres qui existent entre ces traductions du siècle passé.
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(c) Copyright Paul J. Smith 2021
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