Le poète assassiné et l’écriture de guerre : collage et métissage générique
DOI :
https://doi.org/10.18352/relief.896Mots-clés :
Apollinaire, guerre, collage, genres littéraires, esthétiqueRésumé
A la fois séduisante et atroce, la guerre bouleverse le regard d’Apollinaire sur le monde et la littérature. Malgré ses contradictions, l’expérience du front devient pour l’auteur des Calligrammes un véritable champ d’expérimentations littéraires. Recueil de contes paru en 1916, Le Poète assassiné illustre le penchant d’Apollinaire pour la surprise et l’innovation artistiques. En arborant une architecture éclatée, il surprend par une écriture hétérogène qui mélange subversivement théâtre, prose et poésie. En partant des contes liminaires du Poète assassiné, nous analysons les ressorts de cette écriture nouvelle qui retrouve sa force dans le dynamisme textuel, et dans le collage et le métissage des genres littéraires.Téléchargements
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Publiée
24-12-2014
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Comment citer
Costaş, O.-I. (2014) « Le poète assassiné et l’écriture de guerre : collage et métissage générique », RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 8(2), p. 51–61. doi:10.18352/relief.896.