AUTOBIOGRAPHIE ET FRANCOPHONIE: cache‐cache entre ‘nous’ et ‘je’
DOI :
https://doi.org/10.18352/relief.410Mots-clés :
Autofiction, autobiographie maghrébine, Bey, ChraïbiRésumé
Pourquoi évoquer cet objet d’étude qu’est l’autobiographie dans le cadre particulier de la francophonie ? Le pacte autobiographique aurait‐il une spécificité franco‐française qui placerait les littératures venues d’ailleurs dans la marge ? La francophonie, terme que je conserve malgré que le concept soit tant décrié ces temps derniers par les tenants d’une littérature‐monde, englobe tous les écrivains utilisant une même langue, le français, pour raconter une réalité universelle, celle de l’homme. Après avoir donné quelques définitions de base, je présenterai un rapide panorama d’auteurs francophones ayant eu recours à l’autobiographie, pour enfin m’arrêter un peu plus sur deux écrivains maghrébins, Driss Chraïbi et Maïssa Bey. L’observation de leur mode d’écriture montre que l’autobiographie fonctionne chez des auteurs de cultures éloignées de la culture occidentale sous une autre forme.Téléchargements
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Publiée
18-01-2010
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Comment citer
Gans‐Guinoune, A. (2010) « AUTOBIOGRAPHIE ET FRANCOPHONIE: cache‐cache entre ‘nous’ et ‘je’ », RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 3(1), p. 61–76. doi:10.18352/relief.410.