« Acquérir un savoir sur le terrain plutôt qu’à l’école exclusivement ». Entretien avec Rachel Bouvet
DOI :
https://doi.org/10.51777/relief19399Mots-clés :
Rachel Bouvet, géopoétique, entretien, enseignement, création littéraireRésumé
Pour Rachel Bouvet, les études littéraires se réinventent au contact des autres disciplines : de la géographie, pour une approche géopoétique des textes, mais aussi des sciences du vivant, pour une approche globale du végétal. Et plus largement, c’est par le mouvement, par l’exploration et par la rencontre de l’altérité que la chercheuse entend faire dialoguer recherche et création littéraires. Rachel Bouvet est professeure au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal. Elle a d’abord travaillé sur les espaces et les lieux en littérature, s’inscrivant en cela dans une démarche géopoétique, avant de s’intéresser aux rapports entre littérature et botanique. Elle a co-fondé La Traversée – Atelier de géopoétique, ainsi que GRIVE (Groupe de recherche interdisciplinaire sur le végétal et l’environnement). Elle a notamment co-dirigé, avec Stéphanie Posthumus, le collectif Mouvantes et émouvantes. Les plantes à travers le récit (Presses universitaires de Montréal, 2024).
Téléchargements
Téléchargements
Publiée
Numéro
Rubrique
Licence
(c) Copyright Aude Jeannerod, Morgane Leray, Olivier Sécardin 2024
Ce travail est disponible sous la licence Creative Commons Attribution 4.0 International .
Tous les articles dans RELIEF sont publiés en libre accès sous la licence Creative Commons Attribution 4.0 International License (CC-BY 4.0). Sous ce régime les auteurs conservent les droits d'auteur mais ils consentent à toute sorte d'utilisation de leur texte pourvu qu'il soit correctement cité.